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  • Pour le plaisir… Au fil des années, l’expérience naît ! Le désir est toujours imparfaitInassouvi, il se pratique au futur,Réalisé, il se conjugue au passé ! Manger peu ou beaucoup d’oignonEst la même chose ! Tout ce qui est cuit N’est pas obligatoirement mangeable ! Dire est une chose,Avoir vu en est une autre !…

  • Je me dis souvent, par l’expérience que les ans apportent, tout bien réfléchi, que les choses se sont sans doute produites comme elles devaient l’être ! Surprenant, mais logique déduction que je tire des évènements traversés. Comme beaucoup, j’aurai souhaité ne pas divorcer ou me séparer, mais les « circonstances » ont fait que…et ma mauvaise foi, mon orgueil se sont joints à ces « ratages ».

  • Les pensées dans la philosophie Orientale
    Notre esprit crée sans cesse des pensées, l’esprit n’étant pas immobile mais, bien au contraire, d’une grande vélocité par le flot de pensées qui se déverse à chaque instant. Dans les enseignements ésotériques, les pensées sont considérées comme un fluide subtil voguant dans l’éther. Elles relèvent du « volatil », du non palpable.
    La philosophie orientale considère que les pensées ont une influence et trouvent, à un moment donné, une concrétisation dans le monde temporel.

  • 2023 Pierre n’habillera ni Paul ni Jacques (publié le 01/01/2023)
    2022, de deux en 2 rien ne va de pair ! (publié le 01/01/2022)
    Le point : obligation forcée (publié le 04/07/2021)
    Année 2021, Noir, impair et manque (publié le 04/01/2021)
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  • Deux actions que l’on ne comprend pas toujours tellement on attend que, comme dans les contes de fées, tout arrive par enchantement…ce qui désenchante et désillusionne car l’essentiel a été oublié :

    on est acteur principal dans sa vie. On peut être bon acteur, moyen ou mauvais. Il ne faut voir là rien de péjoratif, simplement un constat nécessaire pour évoluer, faire avancer sa vie, ses projets et, avec discernement, mettre de son côté les chances de réaliser ses espérances.

  • La souffrance morale, intellectuelle, spirituelle est souvent plus douloureuse à intégrer.

    Il est sans doute nécessaire de faire une distinction entre la souffrance intellectuelle et les deux autres. Ceci tient au fait que l’intellect s’appuie essentiellement sur des raisonnements concrets, bien que mêlant du subjectif. Ce sens de concret met en exergue les divers travers d’insatisfaction inhérents à l’homme. C’est l’ego qui en pâtit par la non reconnaissance ou l’inassouvissement des désirs.
    … La souffrance morale est proche de la souffrance spirituelle. Elle met en évidence la lutte entre soi et ce que l’on est amené à faire (ou que l’on a fait) alors que profondément la règle personnelle dit non.

  • a chaleur vitale est un contrôle de l’énergie dégagée par le fluide séminal. Il canalise les circuits des nerfs psychiques principaux. Le voyage avait commencé, et avait commencé heureusement avec un ciel bleu doux, et une mer calme.

    En tibétain, la chaleur vitale est désignée sous le terme « Tummo » dont l’enseignement est transmis selon la voie orale de Maître à disciple (futur Maître dans la continuité de la lignée). Cette science de la chaleur Vitale procède du mystique (entendez par là qu’elle se comprend par l’esprit, même avec l’enseignement oral).

  • Dans certaines périodes de la vie, au moment où une forme larvée de lassitude de ce que l’on vit, surgit l’incertitude désorientant l’esprit. Dans ces instants bien souvent longs et durables, l’on voit les choses échapper, glisser, s’enfuir et revenir pour s’enfuir à nouveau rêves évanescents, comme pour renforcer l’instabilité des choix faits, ceux à faire.

    Souvent, cela peut résulter du changement professionnel subissant des variations ou bien, de la vie sentimentale, du couple où ce qu’il est devenu quand tout va mal.

  • Il est, au fil de l’expérience, possible de poser quelques éléments pouvant servir de guide dans la complexité de la relation sentimentale et de ce moment où commencent les reproches. Le terme « bonheur » est trop simpliste, vague et si imprécis qu’il se rattache à un « inconscient » non verbalisé dans des critères objectifs.

    Il est à écarter du langage, notamment si l’on est en recherche de l’âme sœur bien que cette expression elle-même paraît inadaptée, l’expression alter ego serait à tout le moins plus appropriée. L’âme sœur s’attache plutôt à une valeur spirituelle difficilement vivable dans les matérialités quotidiennes du couple. Alter ego inclut la notion de ce que l’on est soi…et que l’on recherche chez l’autre…pour donner ce bonheur complet recherché affectivement.